Le féminin dans l'être
Le féminin dans l'être nous interpelle dans l'art du fallacieux, des faux-fuyants, du verbe, de l'estompage, de la défocalisation, de l'esbroufe. Il propose l'apogée du comme si, de la mascarade (pas sans parade) . Voilà à quoi peut servir le féminin en l'être, cette forme d'utilisation résulte, à ce niveau, de l'ensemencement de la bêtise universelle : par le commerce relationnel qui s'échange dans ce que l'on peut nommer -- l'émotionnel-les sentiments marqués par le désir --. Cela implique la prostitution de l'être, l'agressivité, la convoitise, la sécheresse, la futilité...
Il propose là, l'argent facile, l'oisiveté, la soi-disant gloire, le vide, l'apparence puis toutes les formes de dégénérescences -- inconscientes et intenses -- voilà la façon de l'employer au quotidien dans notre vie, cela ne demande pas d'efforts...
L'autre face du féminin, l'expression de la féminité de l'être, s'interpelle dans l'effort, parfois avec une certaine inconscience, ce sont d'ailleurs ces prémices qui peuvent nous inciter à s’y poser en conscience. L'effort donc de se positionner en attention afin d'accueillir les bases d'évolution de vie, d'écoute, d'appréhension de ce que nous avons à entendre, là, ce situent nos capacités de communications avec intelligence, à l'enseignements de vie, et les facultés d'éveil à la sensibilité qu'elle propose.
La féminité nous permet de vibrer dans le plaisir de l'effort, celui de se construire, le plaisir d'y être pour quelque chose, là, par évidence nous sommes dans l'art, dans l'expression d'accueil de l'art, dans l'expression du sacré de la vie...
Mais la seule façon -- dans la simplicité -- c'est de s’y poser, d'y être, d'accueillir, d'agir, en fait, tout simplement de vivre.
« La femme » (le déguisement du féminin pour la gloire d'une supposée emprise) n'est qu'un leurre, elle n'a pas d'existence, de consistance, « la femme n'existe pas -- Lacan » comme d'ailleurs son pendant, son vis-à-vis, l'être femellisé qui se joue à l'homme, le petit homme des déesses mères, le pantin, l'automate, le guignol, le héros à maman...
Ainsi pas de mascarade sans parade.
Le tout -- dans l'inconscience -- tributaire des effets de suppléance, garant du délire collectif -- nous l'appellerons pudiquement fantasme, là, normalisés, estampillés, aveuglés par les artifices, nous pouvons en crever sans désirer le percevoir.
L'Homme existe, mais comme l'Être ou le Sujet (porteur sexué mâle ou femelle) il suffit de décider d'advenir, d'y être pour quelque chose -- simplement humain --.
Quand Jacques Brel avec perspicacité chante dans L'air de la bêtise, chanson pourtant la moins connue et une des plus – brillantes -- de ses oeuvres :
« Les putains, les vraies, sont celles qui font payer, pas avant, mais après ! ».
Il précise l'intentionnalité, le sens, mais là, c'est moi qui exprime et interprète : « l'institution du mariage civile ou/et de religion propose, absous et bénit la prostitution dans ce contexte ». Ne serait-ce pas une forme d'hypocrisie de ne pas vouloir l'entendre.
De plus, le fait d'engagement -- à vivre ensemble -- interpelle les mêmes programmations.
« Ni croire, ni ne pas croire, mais expérimenter ! » (Carl Gustave Jung) .
C'est ce que j'ai fait, je fais, j’écoute et cela va de soi que la normalité sociale nous propose ces jeux dans toutes les formulations de couple...
PS : La prostitution c’est au moins à deux sinon plus qu’ elle se vit…
« Vendre son âme au diable » ceci n'est qu'une métaphore bien que... L'action explicite de la dite prostitution sur la voie publique en elle-même est un acte de commerce clair et précis. L'implicite et l'inconscient -- non reconnus -- sont porteurs de pathologies plus conséquentes. Là, la culture, la société, deviennent « La mère maquerelle », les églises fussent-elles millénaires en sont d’autres. La distribution des rôles oedipiens se propose – à tous les étages du groupe humain…
Le féminin dans l'être nous interpelle dans l'art du fallacieux, des faux-fuyants, du verbe, de l'estompage, de la défocalisation, de l'esbroufe. Il propose l'apogée du comme si, de la mascarade (pas sans parade) . Voilà à quoi peut servir le féminin en l'être, cette forme d'utilisation résulte, à ce niveau, de l'ensemencement de la bêtise universelle : par le commerce relationnel qui s'échange dans ce que l'on peut nommer -- l'émotionnel-les sentiments marqués par le désir --. Cela implique la prostitution de l'être, l'agressivité, la convoitise, la sécheresse, la futilité...
Il propose là, l'argent facile, l'oisiveté, la soi-disant gloire, le vide, l'apparence puis toutes les formes de dégénérescences -- inconscientes et intenses -- voilà la façon de l'employer au quotidien dans notre vie, cela ne demande pas d'efforts...
L'autre face du féminin, l'expression de la féminité de l'être, s'interpelle dans l'effort, parfois avec une certaine inconscience, ce sont d'ailleurs ces prémices qui peuvent nous inciter à s’y poser en conscience. L'effort donc de se positionner en attention afin d'accueillir les bases d'évolution de vie, d'écoute, d'appréhension de ce que nous avons à entendre, là, ce situent nos capacités de communications avec intelligence, à l'enseignements de vie, et les facultés d'éveil à la sensibilité qu'elle propose.
La féminité nous permet de vibrer dans le plaisir de l'effort, celui de se construire, le plaisir d'y être pour quelque chose, là, par évidence nous sommes dans l'art, dans l'expression d'accueil de l'art, dans l'expression du sacré de la vie...
Mais la seule façon -- dans la simplicité -- c'est de s’y poser, d'y être, d'accueillir, d'agir, en fait, tout simplement de vivre.
« La femme » (le déguisement du féminin pour la gloire d'une supposée emprise) n'est qu'un leurre, elle n'a pas d'existence, de consistance, « la femme n'existe pas -- Lacan » comme d'ailleurs son pendant, son vis-à-vis, l'être femellisé qui se joue à l'homme, le petit homme des déesses mères, le pantin, l'automate, le guignol, le héros à maman...
Ainsi pas de mascarade sans parade.
Le tout -- dans l'inconscience -- tributaire des effets de suppléance, garant du délire collectif -- nous l'appellerons pudiquement fantasme, là, normalisés, estampillés, aveuglés par les artifices, nous pouvons en crever sans désirer le percevoir.
L'Homme existe, mais comme l'Être ou le Sujet (porteur sexué mâle ou femelle) il suffit de décider d'advenir, d'y être pour quelque chose -- simplement humain --.
Quand Jacques Brel avec perspicacité chante dans L'air de la bêtise, chanson pourtant la moins connue et une des plus – brillantes -- de ses oeuvres :
« Les putains, les vraies, sont celles qui font payer, pas avant, mais après ! ».
Il précise l'intentionnalité, le sens, mais là, c'est moi qui exprime et interprète : « l'institution du mariage civile ou/et de religion propose, absous et bénit la prostitution dans ce contexte ». Ne serait-ce pas une forme d'hypocrisie de ne pas vouloir l'entendre.
De plus, le fait d'engagement -- à vivre ensemble -- interpelle les mêmes programmations.
« Ni croire, ni ne pas croire, mais expérimenter ! » (Carl Gustave Jung) .
C'est ce que j'ai fait, je fais, j’écoute et cela va de soi que la normalité sociale nous propose ces jeux dans toutes les formulations de couple...
PS : La prostitution c’est au moins à deux sinon plus qu’ elle se vit…
« Vendre son âme au diable » ceci n'est qu'une métaphore bien que... L'action explicite de la dite prostitution sur la voie publique en elle-même est un acte de commerce clair et précis. L'implicite et l'inconscient -- non reconnus -- sont porteurs de pathologies plus conséquentes. Là, la culture, la société, deviennent « La mère maquerelle », les églises fussent-elles millénaires en sont d’autres. La distribution des rôles oedipiens se propose – à tous les étages du groupe humain…