« La communication inter personnelle a souvent été étudiée, décortiquée que ce soit sur un plan social, politique, psychologique, psychanalytique ou tout simplement en communication.
Mais lorsqu’il s’agit d’une communication interpersonnelle entre deux individus qui ont longuement et sérieusement travaillé sur eux-mêmes, ce type de communication se différencie toutefois.
Comment ?
1- Chacun des deux évite au maximum de projeter ce qu’il est, ce qu’il pense sur l’autre, pour se positionner dans une écoute et donc un échange des plus neutres
2- Chacun évite d’être dans le convaincre ou de chercher à briller
3- Chacun écoute l’autre et simultanément, entend en lui, ce qui se propose
4- Chacun aspirait quels que soient les échanges à trouver une solution ou un résultat satisfaisant pour les deux
5- Au tout départ de l’échange, chacun avait accepté ce même contrat d’alliance »
Écrit qu’Évelyne Tapie m’avait adressé suite à un questionnement sur ce sujet que j’avais proposé au tout début de notre rencontre.
Au fil du temps, ce sont des échanges de ce type que nous avons toujours partagés, elle et moi. De même que j’en ai partagé du même ordre, avec mon superviseur Guy Fauvet. Ce sont les deux seules personnes avec qui j’ai autant communiqué avec un grand naturel et un tel enrichissement de l’esprit et allons plus loin, un enrichissement de l’âme. (L’âme dont parlait Jung)
Comme ils me l’ont confié eux aussi, nous nous sommes mutuellement éclairés mais aussi encouragés, stimulés. Sans Évelyne Tapie, tous ses dons généreux – d’idées - de conseils – d’encouragements- je pense que je n’aurais jamais sauté le pas, celui de me lancer à écrire.
Écrire ne m’était pas réservé, mon éducation et ma vie professionnelle sur des décennies ne le permettaient pas. De plus, mon entourage familial au lieu de m’y inciter m’aurait au contraire, poussé à abandonner toute tentative, se serait même bien moqué de moi, comme je l’ai vécu lorsque j’ai décidé de jouer du piano. A l’époque même mon chien Darius, hurlait à la mort lorsque je jouais un morceau !
Mais je n’accuse pas les autres de mes inhibitions à l’écriture, à poser ma pensée, à l’exposer au regard, non, j’explique seulement dans quel contexte je me trouvais avant de rencontrer Guy Fauvet et par la suite, Évelyne Tapie.
Guy Fauvet fut mon mentor, mon confident puis mon ami. Evelyne Tapie, mon amie, puis ma confidente et par moments, mon mentor.
Les relations ne sont pas identiques mais elles parlent d’échanges d’âme à âme.
Dans les deux cas, elles ont permis et permettent encore de « procréer ». Donner naissance à ce que chacun a pu ou peut encore, créer.
Mais lorsqu’il s’agit d’une communication interpersonnelle entre deux individus qui ont longuement et sérieusement travaillé sur eux-mêmes, ce type de communication se différencie toutefois.
Comment ?
1- Chacun des deux évite au maximum de projeter ce qu’il est, ce qu’il pense sur l’autre, pour se positionner dans une écoute et donc un échange des plus neutres
2- Chacun évite d’être dans le convaincre ou de chercher à briller
3- Chacun écoute l’autre et simultanément, entend en lui, ce qui se propose
4- Chacun aspirait quels que soient les échanges à trouver une solution ou un résultat satisfaisant pour les deux
5- Au tout départ de l’échange, chacun avait accepté ce même contrat d’alliance »
Écrit qu’Évelyne Tapie m’avait adressé suite à un questionnement sur ce sujet que j’avais proposé au tout début de notre rencontre.
Au fil du temps, ce sont des échanges de ce type que nous avons toujours partagés, elle et moi. De même que j’en ai partagé du même ordre, avec mon superviseur Guy Fauvet. Ce sont les deux seules personnes avec qui j’ai autant communiqué avec un grand naturel et un tel enrichissement de l’esprit et allons plus loin, un enrichissement de l’âme. (L’âme dont parlait Jung)
Comme ils me l’ont confié eux aussi, nous nous sommes mutuellement éclairés mais aussi encouragés, stimulés. Sans Évelyne Tapie, tous ses dons généreux – d’idées - de conseils – d’encouragements- je pense que je n’aurais jamais sauté le pas, celui de me lancer à écrire.
Écrire ne m’était pas réservé, mon éducation et ma vie professionnelle sur des décennies ne le permettaient pas. De plus, mon entourage familial au lieu de m’y inciter m’aurait au contraire, poussé à abandonner toute tentative, se serait même bien moqué de moi, comme je l’ai vécu lorsque j’ai décidé de jouer du piano. A l’époque même mon chien Darius, hurlait à la mort lorsque je jouais un morceau !
Mais je n’accuse pas les autres de mes inhibitions à l’écriture, à poser ma pensée, à l’exposer au regard, non, j’explique seulement dans quel contexte je me trouvais avant de rencontrer Guy Fauvet et par la suite, Évelyne Tapie.
Guy Fauvet fut mon mentor, mon confident puis mon ami. Evelyne Tapie, mon amie, puis ma confidente et par moments, mon mentor.
Les relations ne sont pas identiques mais elles parlent d’échanges d’âme à âme.
Dans les deux cas, elles ont permis et permettent encore de « procréer ». Donner naissance à ce que chacun a pu ou peut encore, créer.