" Electre non intégrée" est la symbolisation de cette aptitude que nous avons tous à pressentir les événements, ce qui se manifeste de façon sous jacente dans les relations, ce qui se joue en l'autre lorsque nous relationnons avec lui ou elle ... Mais, aptitude que nous utilisons consciemment ou non, pour tisser un piège !
" Electre non intégrée est donc notre faculté intuitive utilisée de façon dévoyée vers des buts non dits, d'utilisation, de manipulation d'autrui ... "
( Evelyne Tapie)
ELECTRE 105
Electre non intégrée (eni) 106
Que répondriez -vous à ce petit garçon de cinq ans qui vous pose cette question :
« Dis- moi, pourquoi les filles elles racontent toujours des histoires aux garçons ?
«La réponse de la petite fille est : " C’est amusant ! "
Et vous, pouvez - vous comprendre le jeu de ces enfants et dire à quoi il sert ?
ENI : pense agir par ce qu’elle commence à comprendre mais en fait, elle ne modifie que très peu ces scénarios.
ENI croit vivre et parler de sentiments, alors que les sentiments qui l’animent sont dans leur inconscience et leur négativité passives, tous les sentiments I.I.I.I.J.C. qu’elle ne sait pas reconnaître.
ENI pense qu’elle est intelligente, elle essaye de se le démontrer d’ailleurs en exhibant des concepts, des théories, en les mélangeant et comble d’hérésie elle peut en proposer d’autres ( intéressants, utiles ) mais ne les ayant pas intégrés, ils ne sont que des hochets de focalisations.
105) Contrairement à ENI Electre non intégré, ELECTRE ou Electre intégrée (l’Intuition différenciée) se présente comme notre intuition débarrassée de tout ce qui la perturbe, cette fonction «divinisée» est libérée des miasmes qui ne nous permettaient pas de l’utiliser de plus en plus en conscience.
106) Eni (Electre non intégrée ou l’intuition indifférenciée) se présente dans l’utilisation de notre intuition sur le mode de l’introversion ; sous la notion de puissance (petits pouvoirs sur l’autre) elle met en place ses toiles d’araignée ( scénarios, stratégies, jeux économiques …) . Elle s’enferme et permet à ses proies de s’enfermer dans un espace dit de vie qui devient rapidement « un enclos de mort » ; l’intuition ici est sclérosée, extrêmement limitée, pervertie, elle est déviée de toutes les possibilités de vie, de toutes expressions d’aptitudes et de compréhensions infiniment enrichissantes pour l’être..
ENI parle de spiritualité alors qu’elle n’a pas de communication profonde avec elle, n’ayant pas accédé à sa féminité; elle n’est que dans un désir dont les effets ou méfaits l’aveuglent.
Les jeux
Quels que soient les jeux que tu découvres, entend que tu n’es pas seule/ seul à jouer.
- Que de toutes façons tu es dans un thème mythologique extrêmement complexe dont tu ne vois qu’une infime partie.
- Que ces thèmes sont comme des histoires «Corses» où chacun est à même de régler des comptes et des mécomptes pour les autres ... sans vraiment savoir pourquoi!
- Que pour «gagner» à ces jeux, le meilleur moyen c’est de ne pas jouer.
- Ne pas oublier également que " La culpabilité " ne sert à rien , sinon à perdre son temps et à se leurrer.
Nous pouvons être animés de positivité par la richesse de ce que nous avons perçu, par l’éveil que cela suppose, par l’avancée sur la connaissance de soi que cela implique etc.
- Que l’autre, quel qu’il soit est à part entière dans ses scénarios responsable de ce qu’il vit.
- Que tu n’as aucun pouvoir sur l’autre.
- Pose ton attention sur pourquoi il te fait ou te dit cela, pour en entendre progressivement le sens. (celui de ton scénario)
- Dans les scénarios si tu n’en prends pas conscience c’est EUX qui t’ont (les scénarios), c’est comme les symptômes: « nous n’avons pas la grippe! c’est elle qui nous A ». Il nous reste alors à apprendre pourquoi nous avons fait ce choix.
Quand nous parlons de « pouvoir », nous vous proposons de poser votre attention entre autres, pour mieux l’entendre, sur le «territoire à prendre». C’est à dire le désir, la décision de diriger ou de prendre de l’emprise:
- sur l’autre.
- sur la façon d’arranger les lieux, de s’en accaparer, de les annexer peu à peu..
- sur l’émotionnel affectif, des personnes qui nous entourent: être reconnu comme le meilleur, la meilleure, la plus «aimée», appréciée ... (René Bommelaere)
" Electre non intégrée est donc notre faculté intuitive utilisée de façon dévoyée vers des buts non dits, d'utilisation, de manipulation d'autrui ... "
( Evelyne Tapie)
ELECTRE 105
Electre non intégrée (eni) 106
Que répondriez -vous à ce petit garçon de cinq ans qui vous pose cette question :
« Dis- moi, pourquoi les filles elles racontent toujours des histoires aux garçons ?
«La réponse de la petite fille est : " C’est amusant ! "
Et vous, pouvez - vous comprendre le jeu de ces enfants et dire à quoi il sert ?
ENI : pense agir par ce qu’elle commence à comprendre mais en fait, elle ne modifie que très peu ces scénarios.
ENI croit vivre et parler de sentiments, alors que les sentiments qui l’animent sont dans leur inconscience et leur négativité passives, tous les sentiments I.I.I.I.J.C. qu’elle ne sait pas reconnaître.
ENI pense qu’elle est intelligente, elle essaye de se le démontrer d’ailleurs en exhibant des concepts, des théories, en les mélangeant et comble d’hérésie elle peut en proposer d’autres ( intéressants, utiles ) mais ne les ayant pas intégrés, ils ne sont que des hochets de focalisations.
105) Contrairement à ENI Electre non intégré, ELECTRE ou Electre intégrée (l’Intuition différenciée) se présente comme notre intuition débarrassée de tout ce qui la perturbe, cette fonction «divinisée» est libérée des miasmes qui ne nous permettaient pas de l’utiliser de plus en plus en conscience.
106) Eni (Electre non intégrée ou l’intuition indifférenciée) se présente dans l’utilisation de notre intuition sur le mode de l’introversion ; sous la notion de puissance (petits pouvoirs sur l’autre) elle met en place ses toiles d’araignée ( scénarios, stratégies, jeux économiques …) . Elle s’enferme et permet à ses proies de s’enfermer dans un espace dit de vie qui devient rapidement « un enclos de mort » ; l’intuition ici est sclérosée, extrêmement limitée, pervertie, elle est déviée de toutes les possibilités de vie, de toutes expressions d’aptitudes et de compréhensions infiniment enrichissantes pour l’être..
ENI parle de spiritualité alors qu’elle n’a pas de communication profonde avec elle, n’ayant pas accédé à sa féminité; elle n’est que dans un désir dont les effets ou méfaits l’aveuglent.
Les jeux
Quels que soient les jeux que tu découvres, entend que tu n’es pas seule/ seul à jouer.
- Que de toutes façons tu es dans un thème mythologique extrêmement complexe dont tu ne vois qu’une infime partie.
- Que ces thèmes sont comme des histoires «Corses» où chacun est à même de régler des comptes et des mécomptes pour les autres ... sans vraiment savoir pourquoi!
- Que pour «gagner» à ces jeux, le meilleur moyen c’est de ne pas jouer.
- Ne pas oublier également que " La culpabilité " ne sert à rien , sinon à perdre son temps et à se leurrer.
Nous pouvons être animés de positivité par la richesse de ce que nous avons perçu, par l’éveil que cela suppose, par l’avancée sur la connaissance de soi que cela implique etc.
- Que l’autre, quel qu’il soit est à part entière dans ses scénarios responsable de ce qu’il vit.
- Que tu n’as aucun pouvoir sur l’autre.
- Pose ton attention sur pourquoi il te fait ou te dit cela, pour en entendre progressivement le sens. (celui de ton scénario)
- Dans les scénarios si tu n’en prends pas conscience c’est EUX qui t’ont (les scénarios), c’est comme les symptômes: « nous n’avons pas la grippe! c’est elle qui nous A ». Il nous reste alors à apprendre pourquoi nous avons fait ce choix.
Quand nous parlons de « pouvoir », nous vous proposons de poser votre attention entre autres, pour mieux l’entendre, sur le «territoire à prendre». C’est à dire le désir, la décision de diriger ou de prendre de l’emprise:
- sur l’autre.
- sur la façon d’arranger les lieux, de s’en accaparer, de les annexer peu à peu..
- sur l’émotionnel affectif, des personnes qui nous entourent: être reconnu comme le meilleur, la meilleure, la plus «aimée», appréciée ... (René Bommelaere)
