Motivations et Sens de Vie – Dynamisme et Action
Je peux comprendre qu'un individu, qu'un être ait au fond de lui " un sens de vie". Ce sens de vie comme une puissance génératrice en lui peut stimuler son désir et le propulser dans ses entreprises.
Cette puissance génératrice nous parle de motivations et dans la mesure où l'individu est à l'écoute de lui-même, cette motivation le pousse littéralement avec une force et une précision dont nous pouvons percevoir les effets dans l'intensité du dynamisme qui se manifeste par la libération de son action. " S'éveiller ", c'est aussi cela, c'est à dire se permettre de dépasser, d'aller au-delà d'une forme de léthargie dans laquelle l'être ne se permet pas de comprendre et d'entendre son sens de vie.
Cette léthargie dont l'individu a parfois l'inconscience -- aussi il s'y trouve sans vraiment s'en rendre compte -- le fait vivre à " minima ". Vu de l'extérieur, car il est toujours plus facile de percevoir l'autre, nous nous rendons souvent compte que l'individu est en déperdition d'action. Nous ressentons ce formidable potentiel de vie et d'action mais cela ne se traduit que par une " inaction " dont il ou elle ressort fatigué (e).
Car paradoxalement cette énergie de l'être, non libérée, dans un mouvement interne de recherche d'expression se heurte à des processus psychiques contraignants. Ces contraintes -- non perçues -- car inconscientes puisent leur énergie de barrage, d'inhibitions ou de fausses expressions dans l'individu lui-même.
Plus la puissance de vie -- sens de vie -- est importante et plus les désirs pathologiques sont inconscient, plus la force contraire déployée par les instances surmoïques est alors intense. L'être s'use littéralement dans la confrontation de " ses énergies " et cela se ressent sur tous les plans, -- physique, psychique, relationnel et d'organisation -- dans cette inaction. Cela peut aussi s'entendre comme une contre/action, une contradiction qui se manifeste d'ailleurs par de nombreuses contractions ou (et) dilatations plus ou moins malignes ou létales.
L'être peut aussi " se vivre " maladroitement par procuration, c'est à dire qu'il demande et semble pousser l'autre dans l'action pour lui. Ainsi le ou la partenaire ou un de ses enfants deviennent " les responsables " de ce qu'ils ne sauront pas exécuter pour lui.
Par évidence ces remplaçants, mais c'est leur choix et cela nous parle de la non-action ou de l'inaction pour eux-mêmes, peuvent succomber dans des expressions de vie qui ne leur correspondent pas " réellement ". La propension à vivre " au travers de l'autre " se manifeste et se perçoit dans les foules et masses, où chaque " personne/alité " qui les compose se complait à regarder les exploits des acteurs : politique, sportif, guerrier, de cinéma, de théâtre, de télévision. Bien souvent d'ailleurs dans des positions de relâchement total, les personnes " vibrent ou frémissent " par procuration:
-- L'autre fait ou ne fait pas ce qu'elle se refuse.
-- Ou d'autres personnes s'épuisent ou se tuent dans des rôles qui ne parlent pas d'action -- pour elles-mêmes -- surtout si elles guerroient sous des formes les plus diversifiées.
Chacun de nous peut se percevoir dans ses projections et entendre ainsi TOUT ce qu'il ou elle ne se permet pas encore de vivre.
Pensez! Que ces inhibitions de vie des individus sont dues aux différents composants de personnalité -- anti-Natures -- telles que nous avons pu les décrire sous les vocables: de Surmoi, d'instances surmoïques, de regard des autres, de toutes les formes de sentiments d'infériorité et de leurs compensations, de désirs d’emprise, de liens – dit-affectifs – d’ENI, d'imaginaires enfantins inconscients dont les fruits, fantasmes et illusions, nous aveuglent.
Alors entendons notre sens de vie, stimulons et laissons-nous pousser par nos motivations, ressentons-nous vibrer dans le dynamisme de notre action pour nous.
Je peux comprendre qu'un individu, qu'un être ait au fond de lui " un sens de vie". Ce sens de vie comme une puissance génératrice en lui peut stimuler son désir et le propulser dans ses entreprises.
Cette puissance génératrice nous parle de motivations et dans la mesure où l'individu est à l'écoute de lui-même, cette motivation le pousse littéralement avec une force et une précision dont nous pouvons percevoir les effets dans l'intensité du dynamisme qui se manifeste par la libération de son action. " S'éveiller ", c'est aussi cela, c'est à dire se permettre de dépasser, d'aller au-delà d'une forme de léthargie dans laquelle l'être ne se permet pas de comprendre et d'entendre son sens de vie.
Cette léthargie dont l'individu a parfois l'inconscience -- aussi il s'y trouve sans vraiment s'en rendre compte -- le fait vivre à " minima ". Vu de l'extérieur, car il est toujours plus facile de percevoir l'autre, nous nous rendons souvent compte que l'individu est en déperdition d'action. Nous ressentons ce formidable potentiel de vie et d'action mais cela ne se traduit que par une " inaction " dont il ou elle ressort fatigué (e).
Car paradoxalement cette énergie de l'être, non libérée, dans un mouvement interne de recherche d'expression se heurte à des processus psychiques contraignants. Ces contraintes -- non perçues -- car inconscientes puisent leur énergie de barrage, d'inhibitions ou de fausses expressions dans l'individu lui-même.
Plus la puissance de vie -- sens de vie -- est importante et plus les désirs pathologiques sont inconscient, plus la force contraire déployée par les instances surmoïques est alors intense. L'être s'use littéralement dans la confrontation de " ses énergies " et cela se ressent sur tous les plans, -- physique, psychique, relationnel et d'organisation -- dans cette inaction. Cela peut aussi s'entendre comme une contre/action, une contradiction qui se manifeste d'ailleurs par de nombreuses contractions ou (et) dilatations plus ou moins malignes ou létales.
L'être peut aussi " se vivre " maladroitement par procuration, c'est à dire qu'il demande et semble pousser l'autre dans l'action pour lui. Ainsi le ou la partenaire ou un de ses enfants deviennent " les responsables " de ce qu'ils ne sauront pas exécuter pour lui.
Par évidence ces remplaçants, mais c'est leur choix et cela nous parle de la non-action ou de l'inaction pour eux-mêmes, peuvent succomber dans des expressions de vie qui ne leur correspondent pas " réellement ". La propension à vivre " au travers de l'autre " se manifeste et se perçoit dans les foules et masses, où chaque " personne/alité " qui les compose se complait à regarder les exploits des acteurs : politique, sportif, guerrier, de cinéma, de théâtre, de télévision. Bien souvent d'ailleurs dans des positions de relâchement total, les personnes " vibrent ou frémissent " par procuration:
-- L'autre fait ou ne fait pas ce qu'elle se refuse.
-- Ou d'autres personnes s'épuisent ou se tuent dans des rôles qui ne parlent pas d'action -- pour elles-mêmes -- surtout si elles guerroient sous des formes les plus diversifiées.
Chacun de nous peut se percevoir dans ses projections et entendre ainsi TOUT ce qu'il ou elle ne se permet pas encore de vivre.
Pensez! Que ces inhibitions de vie des individus sont dues aux différents composants de personnalité -- anti-Natures -- telles que nous avons pu les décrire sous les vocables: de Surmoi, d'instances surmoïques, de regard des autres, de toutes les formes de sentiments d'infériorité et de leurs compensations, de désirs d’emprise, de liens – dit-affectifs – d’ENI, d'imaginaires enfantins inconscients dont les fruits, fantasmes et illusions, nous aveuglent.
Alors entendons notre sens de vie, stimulons et laissons-nous pousser par nos motivations, ressentons-nous vibrer dans le dynamisme de notre action pour nous.
