Au quotidien, quels sont les sentiments qui nous animent ?
Variations sur les sentiments : D’insécurité, d'infériorité,
d'impuissance, d'incomplétude, d'impureté, de culpabilité,
d’injustice, de jalousie, d’exclusion, d’exclusivité, d’abandon,
d’introjection, leurs compensations et surtout avec maladresse et
inconscience leurs surcompensations.
Nous percevons par suite, qu’il y a derrière cela, un désir d’emprise
( que nous distinguons progressivement) celui-ci est en fait le chef
d’orchestre, le moteur de tous les jeux qui s’impliquent dans les
compensations.
12
Le Sentiment d'incomplétude
Le sentiment d'incomplétude est en nous tous, nous allons le
découvrir et en prendre conscience afin de ne plus le laisser teinter
nos relations.
Ce sentiment nous propose de nous croire mutilés de quelque chose
( ou d'une présence ).
Attendu que nous pouvons nous croire incomplets dans un domaine
particulier, nos pensées, paroles et actes en seront automatiquement
altérés.
De la sorte, le sentiment de culpabilité s'y alliera de façon logique.
Exemple : Si une petite fille croit qu'elle n'a pas l'endurance d'un
garçon ( ce qui lui aura été inculqué ), elle en éprouvera un sentiment
d'imperfection, de manque, (d'incomplétude ). Dans tout ce qu'elle
entreprendra, elle se sentira par la suite, inconsciemment, coupable
de ne pas pouvoir aller jusqu'au bout. Le sentiment d'incomplétude
nous parle toujours d'une connotation de "fautes" car que ce soit le
soi-disant phallus, manquant pour la fille, représenté en certaine
psychologie par la symbolisation du pénis et pour le garçon par le
fait que l'on pourrait le lui " couper " nous renvoie à un châtiment
" châtier ", "châtrer", castrer... 1
La castration
Tout cela précise de toute façon l'être dans sa virilité tronquée par
ses croyances et l'inhibition d'action " pour soi "...
-- La castration secondaire se manifeste dès que l'individu est sous
la tutelle de son Surmoi; autrement dit, ne nous voilons pas la face,
ce n'est pas le fait d'avoir ou de ne pas avoir quelque appendice ou
réceptacle entre les jambes qui change l'emprise de notre imaginaire
sur nous-mêmes.
-- La castration primaire évoque entre autres une règle qui est
qu'en tant que porteur de pénis, jamais dans ton corps ne sera
1 à préciser , il s’agit de la castration secondaire, celle que l’on s’inflige, par
l’accueil et l’acceptation des perceptions imaginaires de culture et de
religions du groupe.
13
présent et ne se développera un enfant.
-- Pour la femme la castration évoque :
Si tu ne portes pas ces " attributs dérisoires " symboles parfois
désuets de la virilité, tu n'es pas un homme ".
Elle impose également de fait l’altérité du Sujet. Et donc
l’impossibilité de connaître l’autre, Je dois reconnaître mon
impuissance quant à l’autre, je ne peux : ni l’aider, ni l’éduquer, ni
le diriger, ni le guérir, ni l’aimer ; (cf. être soumis à la fonction
Père, à la fonction phallique.)
" EN TANT QUE "CASTRE "- HOMME OU FEMME - JE NE PEUX ETRE ET TENIR
pour l’autre le rôle de PERE/MERE "
Variations sur les sentiments : D’insécurité, d'infériorité,
d'impuissance, d'incomplétude, d'impureté, de culpabilité,
d’injustice, de jalousie, d’exclusion, d’exclusivité, d’abandon,
d’introjection, leurs compensations et surtout avec maladresse et
inconscience leurs surcompensations.
Nous percevons par suite, qu’il y a derrière cela, un désir d’emprise
( que nous distinguons progressivement) celui-ci est en fait le chef
d’orchestre, le moteur de tous les jeux qui s’impliquent dans les
compensations.
12
Le Sentiment d'incomplétude
Le sentiment d'incomplétude est en nous tous, nous allons le
découvrir et en prendre conscience afin de ne plus le laisser teinter
nos relations.
Ce sentiment nous propose de nous croire mutilés de quelque chose
( ou d'une présence ).
Attendu que nous pouvons nous croire incomplets dans un domaine
particulier, nos pensées, paroles et actes en seront automatiquement
altérés.
De la sorte, le sentiment de culpabilité s'y alliera de façon logique.
Exemple : Si une petite fille croit qu'elle n'a pas l'endurance d'un
garçon ( ce qui lui aura été inculqué ), elle en éprouvera un sentiment
d'imperfection, de manque, (d'incomplétude ). Dans tout ce qu'elle
entreprendra, elle se sentira par la suite, inconsciemment, coupable
de ne pas pouvoir aller jusqu'au bout. Le sentiment d'incomplétude
nous parle toujours d'une connotation de "fautes" car que ce soit le
soi-disant phallus, manquant pour la fille, représenté en certaine
psychologie par la symbolisation du pénis et pour le garçon par le
fait que l'on pourrait le lui " couper " nous renvoie à un châtiment
" châtier ", "châtrer", castrer... 1
La castration
Tout cela précise de toute façon l'être dans sa virilité tronquée par
ses croyances et l'inhibition d'action " pour soi "...
-- La castration secondaire se manifeste dès que l'individu est sous
la tutelle de son Surmoi; autrement dit, ne nous voilons pas la face,
ce n'est pas le fait d'avoir ou de ne pas avoir quelque appendice ou
réceptacle entre les jambes qui change l'emprise de notre imaginaire
sur nous-mêmes.
-- La castration primaire évoque entre autres une règle qui est
qu'en tant que porteur de pénis, jamais dans ton corps ne sera
1 à préciser , il s’agit de la castration secondaire, celle que l’on s’inflige, par
l’accueil et l’acceptation des perceptions imaginaires de culture et de
religions du groupe.
13
présent et ne se développera un enfant.
-- Pour la femme la castration évoque :
Si tu ne portes pas ces " attributs dérisoires " symboles parfois
désuets de la virilité, tu n'es pas un homme ".
Elle impose également de fait l’altérité du Sujet. Et donc
l’impossibilité de connaître l’autre, Je dois reconnaître mon
impuissance quant à l’autre, je ne peux : ni l’aider, ni l’éduquer, ni
le diriger, ni le guérir, ni l’aimer ; (cf. être soumis à la fonction
Père, à la fonction phallique.)
" EN TANT QUE "CASTRE "- HOMME OU FEMME - JE NE PEUX ETRE ET TENIR
pour l’autre le rôle de PERE/MERE "